Nos talentueux enfants, déjà remarqués par le grand public pour certains, ont uni leurs voix sous l’égide de l’UNICEF, pour l’album, "Un monde meilleur", qui sortira le 20 novembre prochain, à l’occasion de la Journée internationale des droits de l’enfant (convention signée en 1989). une partie des bénéfices de la vente de cet album sera reversée à l'UNICEF afin de permettre aux équipes de l’UNICEF sur le terrain, dans les pays en voie de développement, de poursuivre et de renforcer leurs programmes de secours et de protection. Pour nous souhaiter "Tout le bonheur du monde"… Mais aussi contribuer à réveiller les consciences, sur des chansons qui ont marqué les coeurs et les esprits de nombreuses générations. Il faut dire que les créateurs de ces hymnes revisités (de Francis Cabrel à Pharrell Williams en passant par Michel Berger) ont tous en commun ce désir de retracer nos rêves d’enfant, avec cette fraîcheur douce et naïve, qui reste et restera le sésame vers tous les possibles… Dans un monde où les grands oublient parfois les valeurs humanitaires les plus fondamentales. Qu’est ce qui pourra "Sauver l'amour" ? Qui mieux que nos six prodiges et leur belle candeur pouvaient reprendre l’appel de Daniel Balavoine, l’humaniste éclairé qui nous aura quittés il y a 30 ans en janvier prochain. Il y a dans ce collectif d’enfants, qui a enthousiasmé l’organisation humanitaire, le symbole de ce monde métissé qui tend vers la paix et la tolérance. Corneille, ambassadeur de l’UNICEF et parrain du projet, qui entoure affectueusement ces enfants, a longtemps eu l’impression d’être un migrant dans son propre pays le Rwanda. Il a décidé de chanter avec eux "Il faudra leur dire", car lorsque les adultes perdent la tête, il voit en l’enfant et la préservation de ses droits, un synonyme d’espoir pour croire en un monde meilleur. Notre Québécois a été touché par cette sincérité, cette innocence, cette spontanéité des enfants. La chanson de départ de l’aventure KIDS UNITED "On écrit sur les murs" interprétée en 1988 par Demis Roussos propose de “dessiner sur les murs les noms de ceux qu’on aime”, une invitation qui sonne comme un joli prélude à découvrir l’album. “Et si on ne peut changer le monde, nous dit Corneille, une partie au moins des bénéfices de cet album servira à améliorer la vie d’un enfant, quelque part, d’une manière”.