Le parcours de ce garçon est sinueux : né à Bruxelles de parents congolais et angolais, il a grandi et vit en Afrique du Sud. Celui de sa musique l’est plus encore : elle télescope l’anxiété, la tension, la raideur du post-punk anglais à la transe, la liberté de la musique sud-africaine. The Guardian parlait de “Joy Division chez Paul Simon” et la rime était assez riche.