Bébé je suis dans Paris, viens on se fou sous le parvis
Il paraît que j’ai les doigts magiques, vers chez moi c’est l’anarchie
Ze-trei grande tour, on a la coca qui te rends fou
Je me fais discret, c’est vrai que je me sens mieux sans vous
Dans mon esprit je me disperse, un gros oint-j pour me distraire
Elle me regarde vois le mystère, combien de salope qui se dise frère ?
Combien de minutes il me reste ? Au début personne pour investir
Combien on retourner leurs veste ? Sans même ** mais dans le vestiaire
Il y a que le destin, j’écoute papa
Je suis pas ton mec pas ton bébé
** sur les pupilles
T’aimerai faire partie de l’épopée
Il y a que le destin j’écoute papa
Je suis pas ton mec pas ton bébé
** sur les pupilles
T’aimerai faire partie de l’épopée
Des gouttes sont tombés sur mes épaules, un soir ou il n’y avait pas de pluie
J’habite très loin du regard des autres
Je connais la lumière et le fond du puits
Des gouttes sont tombés sur mes épaules, un soir ou il n’y avait pas de pluie
J’habite très loin du regard des autres
Je connais la lumière et le fond du puits
Je te fume dans le fumoir et je repars dans la ture-voi
Je repars dans le futur mais le plus dur c’est d’en revenir
Une racli c’est comme une gove si tu l’aime faut l’entretenir
Personne n’aime se retenir, regarde ce que j’ai sur moi
Dès le matin tous le monde mate ma tête dans le motel
J’ai des envies tellement grande comme faire un château de sable d’oseille
Poto au faite dis moi, qu’est ce qui t’arrive ?
Il y a ta Gow au tel je sais quel traîne vers Place d’Italie
Des gouttes sont tombés sur mes épaules, un soir ou il n’y avait pas de pluie
J’habite très loin du regard des autres
Je connais la lumière et le fond du puits
Des gouttes sont tombés sur mes épaules, un soir ou il n’y avait pas de pluie
J’habite très loin du regard des autres
Je connais la lumière et le fond du puits