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Ne me parlez plus du festin
Qu'est-ce t'as, t'as vu l'destin ?
J'écris, regarde le dessein
C'est dur mais on fait simple
Libre, mais est-ce possible ?
Rester sur place ou courir ?
Dois-je pleurer ou sourire
Ou croquer dans une pomme pourrie ?
Pénible, non stupide
Les p'tits relisent nos lignes
D'autres tirant sur un joint, une vie noyée dans une olive
Dis-moi en vrai qu'est-ce qu'il t'arrive ?
Quel est l'tarif ?
La route est longue, et vu l'chemin, la plupart s'arrête au périph'
Stupide, nous l'savions
J'verrai quand tu tombes du vide
Et si Maman rate l'avion
J'ferai pas la même que Kévin
Depuis qu'ils nous passent devant
J'ai l'impression de m'blesser
Si l'rap était mieux avant
C'est qu'le présent t'as stressé
En tout cas pas s'presser
Chez nous, on y va doucement
C'est l'savoir que j'ai blindé
Là où les Brinks pètent souvent
Se rapprocher du magma
Laisse-moi vivre à la campagne
T'as visé l'sommet ?
On s'verra en-bas de la montagne
Les mots partent
Et toutes mes rimes jouent dans le mental
C'est ma vision d'voir les choses
Laisse, j'm'occupe du montage
Laisse, j'm'occupe de ma page
Et de ces langues qui s'délient
Un peu comme le matraquage
Des grosses cités d'police
Demande à Renaud : j'encaisse
Y'en a partout des gorilles
Je saigne, sans pansements
Pour pas ressembler à une momie
Laisse couler l'instru, mec
Celle-ci m'donne envie
Texte anti-mythomanie
De ta cité jusqu'en ville
Chut. Ne khleh pas
Sauf si l'décor part en vrille
Ouais bonhomme t'es pas hardcore
Mais seulement quand tu parles aux filles
Arrête de parler de finances aussi
La rue n'a rien d'philosophique
Vive le mélange, des p'tits blancs aux p'tits d'Afrique
Rien à foutre, rien à faire
Les conditions deviennent bestiales
Waouh ! Respire j'vais vous refaire ça
Quoi, t'as rien d'social
T'as tiré sur quelle écurie ?
T'as dix fois pompé mon style ou cherché tous mes featurings
T'es perché, mais sur qui t'urines ?
Arrête, tu vas te chier dessus
C'est que d'la musique en vrai
Tant qu't'es sérieux et qu't'assures
Poids lourd, bonne plume, c'est tout c'qu'on demande en plus
On l'rappe depuis jeune
Alors, t'as pas entendu ?
C'est qu'un constat
J'attends pas l'buzz ni la pendule
J'avance et j't'écris, mais tu n'm'as jamais répondu
On n'voit plus d'compte-rendu, le système est une ordure
Et tous les moutons camés à bien sentir la drogue dure
Ici l'luxe a un goût d'shit
Certains n'ont plus d'chicots mais s'imaginent une dent Gucci
Casquette, faux blue jean
On l'aura vu, chaque style
De l'époque des Fugees jusqu'à Charlie Chaplin
Ce soir j'travaile chaque rime, demain j'relis chaque ligne
Pas d'perfection, aucune étape n'est établie
Rachid, Les Grandes Gueules
C'est sorti d'Sète
Et c'est dans l'calme qu'on cherche une vie simple
[Outro x2]
Les pieds dans l'sable
Une dette non remboursable
Sans doute responsables
On vit en restant souples
On vit en restant souples
Nous sommes conscient que les publicités agacent,
mais sans ça notre site n'existerait plus...
Merci
Ne me parlez plus du festin
Qu'est-ce t'as, t'as vu l'destin ?
J'écris, regarde le dessein
C'est dur mais on fait simple
Libre, mais est-ce possible ?
Rester sur place ou courir ?
Dois-je pleurer ou sourire
Ou croquer dans une pomme pourrie ?
Pénible, non stupide
Les p'tits relisent nos lignes
D'autres tirant sur un joint, une vie noyée dans une olive
Dis-moi en vrai qu'est-ce qu'il t'arrive ?
Quel est l'tarif ?
La route est longue, et vu l'chemin, la plupart s'arrête au périph'
Stupide, nous l'savions
J'verrai quand tu tombes du vide
Et si Maman rate l'avion
J'ferai pas la même que Kévin
Depuis qu'ils nous passent devant
J'ai l'impression de m'blesser
Si l'rap était mieux avant
C'est qu'le présent t'as stressé
En tout cas pas s'presser
Chez nous, on y va doucement
C'est l'savoir que j'ai blindé
Là où les Brinks pètent souvent
Se rapprocher du magma
Laisse-moi vivre à la campagne
T'as visé l'sommet ?
On s'verra en-bas de la montagne
Les mots partent
Et toutes mes rimes jouent dans le mental
C'est ma vision d'voir les choses
Laisse, j'm'occupe du montage
Laisse, j'm'occupe de ma page
Et de ces langues qui s'délient
Un peu comme le matraquage
Des grosses cités d'police
Demande à Renaud : j'encaisse
Y'en a partout des gorilles
Je saigne, sans pansements
Pour pas ressembler à une momie
Laisse couler l'instru, mec
Celle-ci m'donne envie
Texte anti-mythomanie
De ta cité jusqu'en ville
Chut. Ne khleh pas
Sauf si l'décor part en vrille
Ouais bonhomme t'es pas hardcore
Mais seulement quand tu parles aux filles
Arrête de parler de finances aussi
La rue n'a rien d'philosophique
Vive le mélange, des p'tits blancs aux p'tits d'Afrique
Rien à foutre, rien à faire
Les conditions deviennent bestiales
Waouh ! Respire j'vais vous refaire ça
Quoi, t'as rien d'social
T'as tiré sur quelle écurie ?
T'as dix fois pompé mon style ou cherché tous mes featurings
T'es perché, mais sur qui t'urines ?
Arrête, tu vas te chier dessus
C'est que d'la musique en vrai
Tant qu't'es sérieux et qu't'assures
Poids lourd, bonne plume, c'est tout c'qu'on demande en plus
On l'rappe depuis jeune
Alors, t'as pas entendu ?
C'est qu'un constat
J'attends pas l'buzz ni la pendule
J'avance et j't'écris, mais tu n'm'as jamais répondu
On n'voit plus d'compte-rendu, le système est une ordure
Et tous les moutons camés à bien sentir la drogue dure
Ici l'luxe a un goût d'shit
Certains n'ont plus d'chicots mais s'imaginent une dent Gucci
Casquette, faux blue jean
On l'aura vu, chaque style
De l'époque des Fugees jusqu'à Charlie Chaplin
Ce soir j'travaile chaque rime, demain j'relis chaque ligne
Pas d'perfection, aucune étape n'est établie
Rachid, Les Grandes Gueules
C'est sorti d'Sète
Et c'est dans l'calme qu'on cherche une vie simple
[Outro x2]
Les pieds dans l'sable
Une dette non remboursable
Sans doute responsables
On vit en restant souples
On vit en restant souples