Matahari : cet album est une agent double. Danseuse ensorcelante ou espionne naïve, elle n'aurait pas choisi son camp entre disco nouvelle, chansons cannelle, et intriguait à la cour à l'approche du sacre de L'Impératrice. On a su plus tard seulement que le complot avait été fomenté chez Renaud Létang à Ferber, Paris - impliquant non seulement des balades pop tels que Erreur 404, une machine infernale à danser (Matahari) mais aussi des titres venus d’ailleurs comme Là-haut, Masques ou l'ambigu Ma Starlight. Les zones d'ombre autour du rôle joué par cet album dans la guerre de séduction déclarée le 2 mars 2018 suscitent encore aujourd'hui de nombreuses interrogations. Notamment depuis qu'il est avéré que la section spéciale des services de renseignement musical à la cour (microqlima records), savait, et a laissé faire.