Par OTP - Artiste concerné(e) : Moha La Squale
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La situation judiciaire de Moha La Squale pourrait évoluer. Condamné en juillet 2024 à trois ans de prison ferme pour violences conjugales et séquestration sur six de ses anciennes compagnes, le rappeur pourrait bénéficier d’un aménagement de peine. Le Parisien révèle que cette demande sera examinée le mercredi 6 novembre, ouvrant la possibilité d’une libération anticipée.
L’été dernier, Moha La Squale, de son vrai nom Mohamed Bellahmed, 29 ans, a été jugé pour des faits graves. Condamné à trois ans de prison, il risquait pourtant une peine plus lourde de six ans. Déjà détenu pendant dix-sept mois avant le verdict, l’artiste est actuellement incarcéré et pourrait se voir accorder une libération sous conditions après avoir purgé plus de deux ans et demi.
En plus de l’incarcération, le rappeur a été contraint à un suivi psychologique ainsi qu’à un traitement contre son addiction au cannabis. Il lui est interdit de contacter ses victimes, qu’il devra indemniser entre 2 500 et 10 000 euros chacune. Depuis le début de l’affaire, Moha La Squale a toujours nié les accusations, affirmant que ses ex-compagnes mentent pour « détruire sa vie ».
PUBLICITÉLe juge d'application des peines (JAP) rendra son verdict cette semaine. S’il refuse l’aménagement, Moha La Squale devra purger encore trois mois. En parallèle, une des victimes, par le biais de son avocat, indique qu’elle n’est pas affectée par cette éventuelle libération et souhaite tourner la page. Cependant, plusieurs autres femmes expriment leur inquiétude à l’idée de revoir le rappeur en liberté, bien qu'elles ne s’opposent pas formellement à l'aménagement de sa peine, quatre mois seulement après la condamnation initiale.
Quelle sera la décision du juge ? Verdict cette semaine...
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