James Vincent McMorrow est un auteur-compositeur (aussi producteur-arrangeur) irlandais, né à Dublin.
Il a commencé par être batteur dans des groupes de punk rock. Puis un jour, il a eu un déclic en écoutant Donny Hathaway et ça l'a fait évoluer du hard rock au folk. Sa musique, une folk très douce et rappée, fait écho aux ballades et aux fables de son pays d'origine. Sa voix, à la fois forte et intense, lui a notamment valu d'être comparé à des artistes comme Justin Vernon, Patrick Watson ou Sufjan Stevens. Certains de ses titres ont déjà été utilisés dans des séries américaines comme Les frères Scott, Chuck Saison 4, Grey's anatomy et Vampire Diaries. Une version de sa chanson "We Are Ghosts" se retrouve dans la saga des Twilight. Sa reprise "Higher Love" du chanteur Steve Winwood a été visionnée plus de 5 millions de fois et cette version se retrouve sur un album caritatif "Silver Lining" sorti en mai 2011.
♪♫ Early In The Morning ♪♫
Pour composer son premier album : Early In The Morning (sorti en février 2010), James Vincent McMorrow a choisi de s'isoler dans la chambre d'une maison face à la mer où il a écrit, arrangé et pré-produit à lui seul l'album entier en travaillant le soir jusqu'à tôt le matin (d’où le nom de son album). Il s’est classé numéro 1 des charts anglais et a été certifié disque de platine. James Vincent McMorrow a donné des concerts un peu partout (notamment au Royal Festival Hall) et participé à l'émission de télévision Later… With Jools Holland
♪♫ Post Tropical ♪♫ Sortie de son deuxième album "Post Tropical" annoncée pour Janvier 2014. Cet album est né dans une ferme, à un kilomètre de la frontière mexicaine. Le titre d’ouverture, “Cavalier”, dans le genre slow jam qui évolue tranquillement à partir de claviers étouffés et de claquements de mains, s’enrichit progressivement de cuivres, de batterie, et du falsetto caractéristique de James Vincent McMorrow. Tout au long de l’album, le musicien explore de nouvelles sonorités et textures : une boîte à rythmes TR-808 sur l’obsédante “Red Dust”, un loop de piano sur “Look Out”, et l’effet cascade de douze mandolines sur “The Lakes”. C’est au style d’écriture parfois surréaliste de James Vincent McMorrow que “Post Tropical”, album qu’il a écrit, produit et sur lequel il joue pratiquement de tous les instruments, doit sa cohérence.