. Lala Joy Elle s’appelle Laura mais dans sa famille on l’a toujours surnommée Lala comme une petite mélodie en guise de surnom…Premier clin d’œil du destin.
. Elle a toujours chanté, à la moindre occasion, que ce soit sur les standards soul que son père écoutait ou devant les émissions de variété qui propulsaient les jeunes talents dans la lumière. C’est sa génération.
. Elle aussi, elle court les castings un temps jusqu’à sa rencontre avec Christophe, (son ancien manager), qui est immédiatement subjugué par sa voix soul et sa sensibilité.
. Ils décident de prendre le temps ensemble de travailler textes et compositions.
. Elle a beaucoup de choses à chanter mais ne trouve pas encore le chemin des mots, elle qui est si emportée par la plume de Zazie ou la poésie de Charles Aznavour.
. Cette rencontre en entraîne une autre cruciale, celle avec Akérahim (producteur du label NewTimeSongs ayant travaillé avec Matt Pokora et Magic System) et son équipe. Il devient son confident et traduit en musique ce qui l’anime.
. Il la pousse vers elle-même et l’aide à ouvrir les portes de son propre univers.
. Ils écrivent alors un album principalement à quatre mains qui s’intitule tout simplement « Je suis cette fille » et Lala se livre alors avec l’audace, l’enthousiasme et la fraicheur de son âge et devient Lala Joy.
. La brune pétillante se dévoile sur chaque chanson. Elle est cette fille qui n’a pas peur d’être / de s’assumer avec « Je suis cette fille », celle qui fait face aux choix avec l’hymne l’imparable « Il y a », celle qui se lance dans la vie « Au petit bonheur la chance » telle une funambule, ou encore celle qui veut « être là » dans un regard, dans un cri, pour quelqu’un qui n’a plus rien.
. Lala Joy interprète des histoires sur une musique à la croisée de la pop, la soul et la chanson française comme autant de photographies de sa vie et nous offre un album où chacun peut se laisser à fredonner un certain « lala »…